Lecommandant Sébastien Lamoureux était parmi les premiers pompiers de Haute-Garonne envoyés en renfort sur les incendies en Gironde. De retour, il témoigne sur cette mission inédite. Il est l’un des 2.000 sapeurs-pompiers à avoir combattu les incendies en Gironde. Jeudi 14 juillet, le commandant Sébastien Lamoureux a pris la tête d

l'essentiel Les pompiers lotois ont été appelés en renfort en Gironde. Actuellement une équipe est en mission de protection urbaine à La teste de Buch, tandis que quelques jours plus tôt, un groupe a été engagé sur le front de feu à Landiras. Témoignages croisés de nos pompiers. Pas le temps de souffler. À peine arrivés à La Teste de Buch, lundi en début de nuit, les six pompiers lotois partis en renfort sur les feux en Gironde ont dû prendre leur mission rapidement. À bord d'un camion fourgon-pompe tonne du Sdis46, Cyril Boulat et ses coéquipiers participent à la mise en protection de zones urbaines. " On a juste eu le temps de préparer quelques affaires, avant de quitter Cahors, vers 19h30, pour 48 à 72 heures de mission. Sur la route, les énormes panaches de fumées étaient visibles déjà 80 km avant d'arriver", témoigne l'adjudant-chef lotois âgé de 43 ans. Dans cette colonne de défense, les secours positionnés au sud de La Teste, ont d'abord mis en protection un centre de formation agricole. Coup de chance, le vent a faibli et finalement, l'engagement s'est limité à de la surveillance. Mais à 7h30, mardi matin, branle-bas de combat, pour l'équipe lotoise qui est appelée en urgence sur une lisière de forêt bordant un lotissement de La Teste. L'adjudant-chef Cyril Boulat aux côtés de ses coéquipiers lotois, à La teste de Buch. Photo Pompiers du Lot "Tous les 300 à 400 mètres, une quinzaine d'engins incendie ont été positionnés. Les uns après les autres. C'est comme une barrière que nous formons pour empêcher le feu d'atteindre les habitations. D'ici nous n'avons pas de visibilité sur le front de l'incendie. On n'a qu'une vue partielle de la situation en cours", observe le pompier. Toute la journée, chacun sera sur le qui-vive ,assurant des reconnaissances à pied dans un quartier déserté par ses habitants, sous une chaleur de plomb. " L'ambiance est sinistre, reconnaît Cyril Boulat. Cela fait deux jours que ce secteur pavillonnaire a été évacué. Il se retrouve vide, sans vie, les maisons fermées. Mardi matin, on a croisé un seul habitant et la police qui patrouille régulièrement". Ce jour-là, même le feu n'a pas daigné venir. "Le vent a tourné, on attend notre démobilisation sur cette zone, pour se positionner ailleurs", espérait le pompier engagé depuis 27 ans à la caserne de Salviac d'abord, puis à celle de Cahors, et personnel technique du SDIS du Lot. Entre les ravitaillements et la surveillance, il y a l'attente. Les heures passent, l'ennui gagne parfois, mais les valeurs humaines se renforcent. " C'est intéressant de voir comment travaillent les uns les autres. Observer aussi comment tout se coordonne face à un tel sinistre, avec le travail aérien et au sol, ou encore la logistique. Et puis, il y a l'esprit de groupe, de corps, plus fort que jamais". De la teste de Buch à Landiras, les Lotois étaient aussi au pied des murs de feu En Gironde, les secours lotois sont actuellement sur de la défense stratégique, mais la semaine dernière, le groupe envoyé à Landiras, était sollicité sur de l'attaque feu de foret. Parmi cette première équipe départementale de 11 personnels, le lieutenant Pascal Males, chef de centre de Gourdon par intérim, pompier professionnel. "Nous avons dès le mardi 12 juillet intégré la colonne Occitanie avec la Haute-Garonne, le Gers et les Hautes Pyrénées. Au rythme d'une douzaine d'interventions par jour, de 9/10 heures à 22 heures en continu, nos missions ont consisté à occuper la ligne d'appui, les uns derrière les autres essayant d'arrêter le feu venant sur nous, et à mettre en protection des habitations. C'est un sinistre impressionnant. Le pin s'embrase intégralement du sol à la cime. Ce mur de flammes dont on parle est une réalité avec des arbres de 20/25 mètres de haut en feu, et des sautes fréquentes des flammes", décrit le lieutenant lotois. Les pompiers ont été engagés dans la colonne Occitanie, pour former un groupe de lutte contre les feux de foret. Photo Pompiers du Lot Quant à la peur, elle est là. " Et heureusement, répond Pascal Males, sinon on serait insouciant. Sur une de nos lignes d'appui on a eu la lucidité de partir, pour éviter la casse et les dommages humains. Il fallait prendre conscience rapidement qu'on ne pouvait pas attaquer de front un feu de cette qualité-là, nous ne sommes que de simples bonhommes. Alors, on a reculé, pour aller le chercher plus loin, sur un secteur plus favorable, où on pouvait tenir et faire obstacle aux flammes". Pour lui comme pour son collègue, ce feu n'a rien à voir avec les incendies du Lot. "Ce n'est pas la même végétation que chez nous, pas le même relief, et il y a ce vent en plus. C'est un massif de pins qu'on ne pratique pas, d'ailleurs nos engins ne nous permettent pas des interventions en pénétration comme ceux de nos homologues de la Gironde. Nos véhicules ne sont pas conçus pour une progression dans le massif, ce sont les pompiers du 33 qui réalisaient cette poussée à nos côtés quand il y avait besoin". Si la tête tient bon, doucement le corps lâche. "Jamais la motivation de mon équipe n'a failli, mais il a fallu se résigner au 4e jour de combat, la fatigue s'est installée, nécessitant de nous relever, le vendredi". Chaque jour, les pompiers du Lot se sentaient fiers de combattre collectivement en Gironde, mais constataient aussi les lieux dévastés. "À chaque fois, en quittant notre poste à 22 heures, on se disait comment on va retrouver ça demain. Si le combat n'est pas perdu d'avance, nous sommes lucides sur l'incertitude qui pèse à chaque bataille. La dimension du sinistre nous a fait rester perplexe sur le jour qui suit ".

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Publié le 08/08/2022 1352 Article rédigé par - France Télévisions En Isère, les pompiers tentent de contenir les flammes, qui ont ravagé 80 hectares dans le massif de la Chartreuse, lundi 8 août. L'incendie, inhabituel dans la région, inquiète les habitants. Lundi 8 août, les hélicoptères bombardiers d'eau sont toujours en action à Voreppe Isère. Ils tentent de noyer les foyers d'incendie qui menacent de s'étendre. "Là, en l'espace de dix minutes, on n'a rien vu venir, c'était derrière. En dix minutes, c'était arrivé devant, une énorme fumée, une odeur abominable", témoigne une habitante dont l'immeuble est situé au pied de la montagne qui a brûlé. "Ça fait trois jours qu'on a des valises prêtes … on a préféré quitter les lieux hier, on ne sait jamais", ajoute un voisin, qui redoute une évacuation. Au total, 80 hectares du massif de la Chartreuse ont été dévorés par les flammes. Dans la nuit du dimanche au lundi 8 août, l'incendie s'est propagé dans la vallée et les pompiers ne peuvent pas accéder au terrain escarpé. "On a mobilisé tous les moyens sur les différentes lignes de feu pour les traiter et surtout pour protéger l'ensemble des habitations", explique le lieutenant-colonel Mathieu Malfait, commandant des opérations de secours. Les habitants sont impressionnés par l'ampleur de l'incendie, qui est inhabituel dans la région.

Unecolonne de sapeurs-pompiers, spécialisés « feux de forêts », va partir à l'aube, ce jeudi 13 juillet, en renfort dans le Sud de la France. Il s'agit d'une coopération entre les services

Vincent Bihouée est sapeur-pompier volontaire à la caserne de Malestroit Morbihan. Il a été déployé sur un incendie en Gironde, pour aider à en venir à bout. Il raconte. Par Wilhem Lelandais-Foyer Publié le 26 Juil 22 à 1656 mis à jour le 26 Juil 22 à 1656 Vincent Bihouée a passé cinq jours en Gironde pour lutter contre les incendies qui faisaient rage. ©Vincent Bihouée. Quand on est sapeur-pompier volontaire, on peut être appelé à l’aide à peu près n’importe quand. C’est ce qui est arrivé à Vincent Bihouée, de la caserne de Malestroit Morbihan. Je suis sorti du travail à 13h, et à 13h15 j’ai eu un coup de téléphone pour me dire de me préparer. Le temps de rentrer chez lui, de rassembler ses affaires, et l’homme de 42 ans est envoyé en Gironde, aux côtés de 70 autres pompiers, où deux immenses incendies faisaient rage. Il y avait celui de La Teste-de-Buch et celui de Landiras. J’ai été déployé sur le second, près des communes de Guillos et Louchats plus précisément. Déployé sur l’incendie de LandirasIl arrive sur place vers 23h, le 13 juillet 2022. On a eu le temps de se poser environ une heure et demie, parce qu’on était fatigué du voyage et puis on a été déployé directement après. » Cela faisait déjà trois ou quatre jours » que le feu ravageait la forêt des Landes, et la situation n’était pas évidente à gérer. On n’avait jamais vu ça », affirme Vincent. Au début de l'été, Vincent a rempli une fiche pour renseigner ses disponibilités. ©Vincent BihouéePourtant, celui qui est sapeur-pompier depuis 1998 a de la bouteille. Mais plus de 13 000 hectares partis en fumée, c’est loin d’être négligeable. C’était vraiment impressionnant la surface brulée, continue-t-il. Ça et la durée, c’est ce qui m’a choqué. » Trouver du temps pour se reposerPour venir à bout du brasier, les soldats du feu mobilisés ont dû utiliser tout leur savoir-faire. On a été obligé de mettre en place des lignes d’appui, de la défense de points sensibles… Il s’agit de tactiques militaires qu’on utilise très rarement d’habitude, et là c’était plusieurs fois en quelques jours à peine. Une situation difficile donc, et exténuante. On était sur le terrain pendant de très longues heures d’affilée, et on grappillait du sommeil quand on le pouvait, c’est-à-dire quand on remplissait les camions par exemple », continue Vincent. Jamais en dangerMalgré tout, le Malestroyen ne s’est jamais senti en danger. Le risque 0 n’existe pas, mais on est formé et cette mission s’est bien passée. On était une bonne équipe. » Vidéos en ce moment sur ActuLe 18 juillet, cinq jours après son arrivée, Vincent est renvoyé chez lui. À la base, on devait rester sept jours mais je pense qu’avec l’intensité des flammes, ils ont décidé de raccourcir le temps passé sur place. » Avec le sentiment du devoir accompli, même si le brasier n’était pas encore fixé. On savait qu’on n’arriverait pas à l’éteindre nous-mêmes de toute façon. » Mais aucun doute que les efforts de Vincent et de ses coéquipiers ont permis de limiter les dégâts, et à ceux qui sont passés après, de venir à bout du article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Ploërmelais dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.

^{16H00point de situation à 15h Suite à l’incendie qui s’est déclaré dans les Bouches-du-Rhône, ce jour à 9h51, sur la commune de Peynier, dans le domaine de Branguier KD62D04, une centaine d’hectares a déjà été parcourue par le feu. A cette heure, toujours aucune habitation n’est touchée, ni menacée . 130 pompiers sont} l'essentiel Des incendies en Bretagne ont brûlé samedi 6 et dimanche 7 août plus de 300 hectares de végétation dans le Finistère et dans le Morbihan, indiquent les préfectures des deux départements. Dans le Finistère, des incendies dans les monts d'Arrée, déjà touchés en juillet par d'importants feux, ont brûlé près de 250 hectares de végétation. Dans le secteur de Brasparts, "le feu est fixé mais pas maîtrisé", a indiqué la préfecture du Finistère dans un communiqué, avec 225 hectares qui ont déjà brûlé. Plus de 200 pompiers sont présents sur site, d'après la même source. Sur le secteur de Brennilis, le feu est fixé, avec 15 hectares brûlés et 40 pompiers sur place. Des pompiers d'autres départements sont venus en renfort, notamment en provenance d'Ille-et-Vilaine, des Côtes d'Armor, du Calvados, de la Mayenne et de l'Orne."De nombreux agriculteurs sont également présents sur place et prêtent leur concours aux pompiers pour la réalisation de pare-feu et le traitement des lisières avec les tonnes à lisier", a ajouté la préfecture. Les incendies, habituellement rares en Bretagne, avaient déjà détruit en juillet plus de 1700 ha de landes, de sapinières et de feuillus sur les Monts d'Arrée, site naturel remarquable. A lire aussi Incendies Morbihan, Gironde, Drôme... plusieurs incendies font toujours rage en France ce samedi soir 75 hectares partis en fumée dans le Morbihan Dans le département du Morbihan, les feux ont ravagé 75 hectares de végétation samedi et durant la nuit de samedi à dimanche. "Un feu à Meucon est parti cette nuit et il est désormais fixé, les derniers incendies de Locoal-Mendon et Erdeven dans le Morbihan ont été eux maîtrisés durant la nuit", a indiqué dimanche matin la préfecture du Morbihan. A lire aussi Morbihan deux impressionnants incendies se déclarent à quelques kilomètres de distance Samedi, une quinzaine de communes du Morbihan avaient été touchées par des incendies d'espaces naturels "dont la propagation a été facilitée par la forte sécheresse et les vents tournants", selon la même source. 31 départs de feu ont été recensés par le Service départemental d’incendie et de secours du Morbihan SDIS 56. OPÉRATIONNEL A 8h00, 181 pompiers sont engagés suite à plusieurs départs de feux d'espaces naturels le 6 6 août 8h au 7 août 7h \ud83d\udcde 1 631 appels\ud83d\ude92 653 engins engagés\ud83d\udea8 183 interventions dont 31 feux d'espaces naturels\ud83c\udf33 Près de 115 hectares brûlés Sapeurs-Pompiers du Morbihan - SDIS 56 pompiers_56 August 7, 2022 À Erdeven, commune du littoral située non loin de la presqu'île de Quiberon, 25 hectares ont brûlé et une trentaine de maisons, un château comprenant des gîtes et un camping ont été évacués, soit environ 300 personnes prises en charge par la mairie d'Erdeven et celle de Belz. Aucun blessé n'est à déplorer et aucune maison n'a été attaquée par les flammes. Selon les scientifiques, la multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes canicule, sécheresse, incendies, etc. est une conséquence directe du réchauffement climatique, les émissions de gaz à effet de serre augmentant à la fois leur intensité, leur durée et leur fréquence. Onzepompiers de l’Indre et neuf du Cher sont partis renforcer leurs collègues de Gironde, ce mardi 19 juillet. Ils vont être affectés au plus près des flammes. "Vous partez à

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Lefeu est parti dans une forêt privée située près du golf de Montjoie, sur le territoire de Clefs, commune déléguée de Baugé-en-Anjou. Le feu s’est d’abord propagé vers l’ouest

La Gironde en vigilance rouge feux de forêt, près de 5000 hectares brûlés Dans un contexte de fortes chaleurs sur la moitié sud du pays, les pompiers affrontent toujours deux feux de forêt agressifs en Gironde et combattent désormais un incendie "virulent" près d'Avignon. THIBAUD MORITZ via Getty Images Des pompiers luttant face aux flammes à Cazaux, en Gironde, le 14 juillet 2022. THIBAUD MORITZ via Getty Images INCENDIES - La Gironde a été placée ce jeudi 14 juillet en vigilance rouge “feux de forêts” alors que les deux importants incendies qui y sévissent depuis mardi ont détruit 4700 hectares de végétation, dont 2500 à La Teste-de-Buch où quelque 4000 habitants du bourg de Cazaux ont dû évacuer en début d’après-midi. Ce placement en vigilance “très élevée” niveau 4 sur 5 à compter de ce jeudi et “jusqu’à nouvel ordre”, annoncé par la préfète Fabienne Buccio, a pour effet d’interdire la circulation des personnes et des véhicules en forêt entre 14h et 22h, de suspendre les activités d’exploitation et de travaux sylvicoles entre 14h et 22h et d’interdire les activités ludiques et sportives en forêt. Selon Fabienne Buccio, la situation est “délicate” sur le feu de La Teste mais il n’a pas touché le bourg de Cazaux et base militaire la BA 120, zone que 4000 personnes ont évacuée de manière “préventive”. Le port de Cazaux est en feu. Le situation semble être hors de contrôle ce soir en Gironde. Terribles images ! — Boris Kharlamoff BorisKharlamoff Voir le tweet “Le feu malheureusement se rapproche de plus en plus des habitations de Cazaux, du fait du vent de nord-ouest assez conséquent”, a indiqué le maire de La Teste, Patrick Davet, sur Facebook. “Les Cazalins ont respecté les consignes d’évacuation. Le travail sans relâche des pompiers nous donne beaucoup d’espoir pour la protection des biens. La police va régulièrement surveiller le village afin qu’il n’y ait aucune maison visitée.” 2200 hectares de pins partis en fumée dans un second incendie, près de Landiras Un énorme panache de fumée aux tons orangés a empli le secteur dans l’après-midi et des cendres flottent en suspension dans l’air, a constaté un journaliste de l’AFP. La priorité cette nuit pour les pompiers sera de protéger les biens et les maisons à Cazaux, a expliqué aux journalistes Marc Vermeulen, directeur du service d’incendie et secours de la Gironde SIDS 33. Le feu a pris mardi sur une route forestière dans cette vaste forêt de pins, difficile d’accès et très dense, qui jouxte la célèbre dune du Pilat, désormais fermée au public. Dans la nuit de mardi à mercredi, 6000 personnes avaient dû être évacués de cinq campings proche de la dune. La plupart sont désormais rentrés chez elles et les campings demandent aux clients prévus pour arriver samedi de ne pas venir. Quelque 2200 hectares de pins sont également partis en fumée dans le second incendie, situé près de Landiras, à une quarantaine de kilomètres au sud de Bordeaux. Mais la situation semble moins compliquée qu’à La Teste. 🔥🌳FeuxDeForêt à La Teste-de-Buch et Landiras 33 face à un feu toujours plus virulent, plus de 1 000 sapeurs-po… — Sécurité Civile SecCivileFrance Voir le tweet incendies en Gironde communiqué de la préfecture ce soir Aucun blessé n'est à déplorer. En revanche,2 maisons o… — Aurélie Sarrot aureliesarrot Voir le tweet “L’objectif est de stabiliser le feu de Landiras pour mettre tous les moyens sur celui-ci”, a expliqué à La Teste la préfète Fabienne Buccio. Près de 1000 sapeurs-pompiers sont engagés sur ces deux feux ainsi que d’importants moyens aériens, avec au moins sept Canadair et deux Dash. Par ailleurs, un incendie “virulent” dégageant un important panache de fumée était en cours ce jeudi au sud d’Avignon, vers Tarascon. Parti vers 16h d’une ligne de chemin de fer, le feu s’est propagé sur un petit massif calcaire recouvert principalement de pins et a rapidement parcouru environ 1000 hectares, brûlant au moins 300 hectares, ont indiqué les pompiers. Environ 1000 pompiers étaient mobilisés sur ce front pour la nuit. Les pompiers au sol étaient assistés par deux hélicoptères bombardiers d’eau et trois avions Dash. Le feu, “virulent” selon les secours, n’a pas fait de blessé. La fumée et les cendres arrivent jusqu’à Avignon, où le festival de théâtre bat son plein. Les pompiersdugard partent en renfort des Pompiers_13 à graveson . Images Horus 30. Prefet30 PompiersFR… — Sapeurs Pompiers du Gard pompiersdugard Voir le tweet 🔴 DIRECT 18h50 - Images en direct de l'incendie proche de Graveson limite 13/30. Situation catastrophique avec… — Météo Languedoc MeteoLanguedoc Voir le tweet À voir également sur Le HuffPost Les feux et la canicule frappent aussi l’Espagne et le Portugal ChaqueBataillon e deux Compagnies en 1ère ligne, 2 Compagnies en renfort immédiat suivant à 100 mètres. En 2e ligne, le Bataillon Labutte (2e) doit suivre l’attaque à une centaine de mètres. Le 4e Bataillon est en réserve de division à la lisière E. du Bois des alleux. Avec chaque Bataillon de 1ère ligne débouche deux sections de mitrailleuses l’une encadrée par les 2

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InfoSaint-Omer EN IMAGES Au Portugal après lenfer des incendies des feux maîtrisés - Après Saint-Omer. Saint-Omer Boulogne-sur-Mer Le Touquet-Paris-Plage Lens Béthune Autres villes . S'inscrire Se connecter Mon compte Maville. Mon compte Mon espace PRO; Déconnexion par . Info. Accueil Info Info en continu Info Saint-Omer Info Pas-de-Calais Info Hauts-de-France En

Actualisationà 19 h 05. Un feu de récolte, visible à plusieurs kilomètres à la ronde, a éclaté ce mardi 19 juillet vers 18 heures à Châlons-en-Champagne.

240pompiers sont toujours mobilisés à Lagorce pour combattre l'incendie qui s'est déclaré mercredi 10 août. 150 hectares ont déjà été parcourus par les flammes qui continuent de progresser. "La priorité, c'est de protéger un hameau, l'usine Melvita et le camping Laborie à Pradons, détaille le colonel Rivière, le directeur du

Ila ravagé près de 8 000 hectares, détruits six maisons et des dizaines de kilomètres de lignes hautes tensions. 1 000 personnes se sont retrouvées sans électricité, 2 000 sans téléphone et 20 hameaux ont été évacués. Plus de 1 000 pompiers sont venus de toute la France, mais aussi l'Armée qui a été appelée en renfort.

Plusde peur que de mal, l'orchestre reprit l'animation pour finir en beauté; correspondante Valros : plus de peur que de mal au feu d'artifice du Synonymespour la definition "Arrive en renfort près des lignes de feu" avec la liste des solutions classés par nombre de lettres Cookies Utilisation de cookies et protection vos données. Notre organisation et ses partenaires peuvent stocker et/ou accèder à des informations sur votre appareil, telles que les identifiants uniques de cookies pour traiter les données .